Cette séquence vise:

  • à mettre en lumière les barrages spécifiquement destinés à l’irrigation;
  • à analyser leur répartition à l’échelle continentale et régionale;
  • à identifier des composantes de l’espace qui permettent d’éclairer cette répartition.

Ressources:

Première situation d’apprentissage:

Sur bas de l’atlas de 4e année, en suivant la procédure pour extraire des informations spécifiques d’une couche spatiale (tutoriel ICI), mettre en évidence la répartition des barrages spécifiquement construits pour l’irrigation (affectation principale ou affectation principale et secondaire).

À l’échelle du monde, annoter une carte vierge de manière à mettre en évidence les principales concentrations (dans le respect des règles de base de la cartographie);

Le même exercice peut être transféré à l’échelle du bassin méditerranéen ou à une autre échelle régionale ou continentale.

En utilisant l’atlas papier, décrire brièvement ces principales concentrations en utilisant le vocabulaire adéquat et des repères spatiaux pertinents.

Le même exercice peut être transféré à l’échelle du bassin méditerranéen ou à une autre échelle régionale ou continentale.

Structuration des apprentissages

Au terme de cette situation, les élèves ont appris:

  • à extraire des informations en utilisant des champs et des variables sur une couche spatiale;
  • la notion de repère spatial pertinent;
  • des repères spatiaux pertinents pour décrire des espaces où l’utilisation des aménagements en vue d’accéder à l’eau sont réalisés.

Deuxième situation d’apprentissage:

Justifier la répartition des barrages destinés à l’irrigation à l’échelle continentale

Par exemple, à l’échelle de l’Amérique du Nord:

Rédiger un court texte pour comparer la répartition des barrages destinés à l’irrigation par rapport à l’ensemble des barrages.

En prenant appui soit sur une carte des climats, soit sur le modèle de la circulation atmosphérique, justifier dans un court texte la répartition des barrages destinés à l’irrigation.

Cet exemple peut être transféré pour les autres continents.

Structuration des apprentissages

Au terme de cette situation, les élèves ont appris:

  • à utiliser le modèle de la circulation atmosphérique pour justifier une répartition spatiale;
  • à utiliser le modèle des zones climatiques ou bioclimatiques pour justifier une répartition spatiale;
  • des repères spatiaux et les grands repères géographiques.

Troisième d’apprentissage:

À l’échelle mondiale, comparer la répartition des barrages par rapport à la carte des rendements de l’agriculture.

Énoncer en quelques mots un lien entre ces deux cartes de manière à faire ressortir la tendance principale.

Le même exercice peut être proposé à l’échelle continentale (par groupes d’élèves p.ex. avec une mise en commun pour aboutir à une tendance générale à l’échelle du globe).

Structuration des apprentissages

Au terme de cette situation, les élèves ont appris:

  • Où se situent les espaces où la production agricole est la plus importante et là où elle est quasi inexistante;
  • Des repères spatiaux qui permettent de caractériser les espaces où la production agricole est la plus importante et là où elle est quasi inexistante.
  • des espaces agricoles spécifiques (Asie des Moussons, espace méditerranéen)